jeudi 28 juillet 2011

Vous l'aurez peut-être remarqué, mais depuis quelques temps, les boutiques de bijoux fleurissent un peu partout sur le net, ce dont je ne me plains absolument pas . J'ai décidé de partager mes découvertes, dont certaines sont de vraies petites perles rares :


La Boite à Monstres






Les Jumelles Boutique

TRUE LIES (le meilleur pour la fin)
Je vous laisse découvrir...

vendredi 22 juillet 2011

Le Moine, de Dominik Moll


Deux raisons m'ont poussée à aller voir Le Moine : Déborah François joue dedans et c'est une de -voire mon- actrice préférée. On m'avait aussi parlé en bien du livre de M.G. Lewis, représentant du courant gothique, dont le film est adapté il y a un certain temps. Bref quand le film sort, j'y vais, avec une certaine impatience puisque cela fait quand même plus d'un an et demi que les premières images sont sorties !

Honnêtement, j'ai trouvé ce film bien, sans être exceptionnel non plus, on va dire que je m'attendais à mieux, je pensais que ça allait vraiment être super. Mais je ne suis pas déçue du tout non plus ! Contrairement à tous ceux qui avaient lu le livre avant, apparemment. L'avantage c'est que quand je vais lire le livre, je ne pourrais (d'après ce que j'ai compris) que le trouver génial.


Le livre a l'air d'être un livre plutôt luxurieux, très osé pour le 18e siècle, alors que le film est plutôt très classique. Tout est beaucoup plus suggéré que montré, et l'atmosphère n'est sans doute pas la même. Mais stoppons là les comparaisons avec le livre, puisque je ne peux me baser que sur ce que j'ai entendu dire, non sur ce que j'ai lu... J'ai trouvé à ce film quelque chose d'envoûtant : très belle photographie, beaucoup de plans fixes, grande place laissée à la lumière, qui fait ressortir le personnage de Vincent Cassel, auréolé. Immensités désertiques de l'Espagne du 17e siècle, sous le soleil de plomb. Ou encore très belles séquences nocturnes pendant des processions religieuses, à la lumière des flambeaux, ou scènes éclairées par la lumière de la lune... Véritable chef d'œuvre visuel. L'histoire du moine exemplaire qui est confronté à la tentation et qui y succombe, on prend plaisir à la suivre. La tentation qui apparaît sous la forme d'une femme (Déborah François !) qu'on ne voit malheureusement pas assez à mon goût... Elle passe la moitié du temps sous un masque, ce qui confère au film un côté mystérieux encore plus grand. Ajoutons à tous ces éléments une histoire d'amour entre deux jeunes gens (dont la jeune Joséphine Japy, très bonne découverte), un mystère quant à la naissance d'Ambrosio -notre moine- et un Sergi Lopez incarnant Satan avec son accent espagnol so sexy, on passe vraiment un bon moment de cinéma ! Dommage que la piste du fantastique ne soit exploitée qu'à moitié, ça aurait pu être bien que ce côté fantastique fasse plus partie intégrante du film.


Sinon je trouve que c'est une bonne idée d'avoir pris Vincent Cassel, qui a d'habitude des rôles de séducteur pour ce film, ça le change, et puis finalement ce n'est pas si choquant que ça, contrairement à ce que j'ai pu lire assez souvent. Donc j'ai vraiment trouvé que c'était un beau film, qui fait finalement assez "conte", et qui arrive à nous plonger dans les ténèbres présentes dans chacun d'entre nous... Nul n'est à l'abri de la tentation !




Images : Google

lundi 18 juillet 2011

La trilogie de Katherine PANCOL : des Crocodiles aux Ecureuils passant par les Tortues…


Cela fait maintenant quelques mois que je suis tombé par hasard sur « Les Yeux jaunes des crocodiles » (le premier volet), sa couverture et son titre assez original m’ont tout de suite interpelé. Mais ce qui m’a carrément convaincu de l’acheter c’est le résumé au dos du livre qui nous indique que ce roman est un condensé de vie où nous passons du rire aux larmes, de l’amitié à la trahison, d’argent, de rêves etc…
Je vous explique en quelques mots l’intrigue : c’est l’histoire d’une famille banale qui vit dans la banlieue parisienne où l’héroïne principale est la mère, Joséphine, elle a deux petites filles aux caractères très différents, un mari quasi absent, une meilleure amie, une sœur beaucoup plus gâtée par la vie…
Joséphine travaille au CNRS et a une passion débordante pour la période du Moyen-Age. Nous apprendrons très vite que son mari a une maîtresse et va tout plaquer pour partir vivre avec elle, laissant Joséphine seule, démunie, avec ses deux filles. C’est à ce moment là que le roman commence réellement et nous découvrons, au fil des pages, les destins croisés des personnages.
Enfin bref, j’ai dévoré cette trilogie très vite car j’étais vraiment absorbé par cette histoire. On s’identifie, on s’attache immédiatement aux personnages, on a réellement envie de savoir ce qu’il va leur arriver…
A noter qu’une adaptation cinématographique est prévue sur nos écrans fin 2011.
Je vous conseille vivement de lire cette trilogie cet été sur la plage ou tout simplement pour vous vider la tête… (car je trouve que ce ne sont pas des livres à lire mais à VIVRE… !)

vendredi 15 juillet 2011

Harry Potter et les Reliques de la mort, partie 2



Il faut savoir que, malgré les apparences, je ne suis pas une fille suicidaire : j'ai donc patiemment attendu le lendemain de la sortie mondiale d'HP pour aller le voir . Mais il est vrai que dans la petite ville qui me sers de logis, j'aurais peut-être eu très peu de chances de trépasser, écrasée par un public nombreux et désireux d'avoir les meilleurs places . C'est donc le lendemain que je me suis enfoncée dans un siège de cinéma pour voir la fin de cette saga mythique, Ô combien meilleure que Twilight et autres détritus cinématographiques . J'étais donc venue assister à la fin du héro de mon enfance, en espérant que ce film serait enfin à la hauteur des livres (je ne sais pas vous, mais je trouve que la qualité et la fidélité des films se sont singulièrement dégradées à parti du 4). En tant que grande amatrice des bouquins, je connais l'histoire dans ses moindre détails . J'ai tout d'abord été presque outrée lorsque je me suis aperçue que la musique d'ouverture n'était pas l'habituelle mélodie célébrissime, typique de Harry Potter, mais passons (cela ne m'a tout de même pas empêché d'apprécier cette nouvelle mélodie, tout simplement magnifique) . J'ai trouvé le début brutal, et assez confus, pour quiquonque n'aurait pas lu le livre . C'est d'ailleurs une impression qui ne m'a pas quittée du film, confirmée par ma mère qui me posait 58575775876876976978 questions sur le comment du pourquoi ! J'ai également trouvée que, par rapport à la première partie, le réalisateur s'est permis beaucoup de libertés . Des détails, certes, mais une accumulation ! Les rares scènes que j'ai pu aimées (les souvenirs de Rogue, notamment) n'ont pas suffi à cacher la profonde déception que m'a inspiré ce film...la fin de Harry Potter, et même pas foutu de le terminer correctement .

mercredi 13 juillet 2011

Lire sur la plage...



E
n voilà une bonne activité, quand viennent les jours chauds et ensoleillés de l'été (encore que ces jours ci cela reste à voir...). Je ne sais pas vous, mais moi, rester sur la plage à ne rien faire, à part aller se tremper dans l'eau de temps à autre, et bien j'en ai rapidement assez. Pourquoi ne pas lire en bronzant ? Car il n'y a pas que Proust, Zola ou Voltaire dans la littérature -qui sont ma foi des auteurs à bannir de la plage. Je vous ai concocté une petite sélection de romans bien agréables, qui se lisent en une après-midi, et qui ne vous prennent pas la tête.

Par avance, Messieurs, je m'excuse, parce que les livres ont je vais vous parler s'adressent à un public essentiellement féminin, mais rien ne vous empêche de les ouvrir ! J'en connais plusieurs qui aiment ce genre de lecture, ou, dans la même veine, qui aiment regarder des comédies romantiques.


Je pense qu'il y a deux grandes catégories de livres, quand il s'agit de lire sur la plage : la première, c'est celle des best-sellers. Je comprends dans best-sellers des auteurs comme Marc Lévy, Guillaume Musso, ou n'importe quel auteur de polars à succès. Ça se lit vite, c'est agréable, les histoires sont quand même parfois un peu tirées par les cheveux, c'est un livre, donc quand une fille saute du pont de San Francisco dans Seras-tu là ? de Musso, au lieu de mourir comme toute personne l'aurait fait, elle survit on ne sait comment, parce que quand même son fiancé doit revenir la chercher en prenant des pilules qui vont le faire revenir dans le passé. Bon, je caricature, mais en gros c'est ça. Mais c'est tout à fait le genre de lectures qui fait du bien au cerveau. J'ai aussi beaucoup aimé, du même auteur, Parce que je t'aime, avec son final tellement inattendu et farfelu que j'ai limite éclaté de rire. Très bon souvenir. Par contre, le seul Marc Lévy que j'ai lu, Et si c'était vrai, j'ai eu plus de mal, je ne sais pas trop pourquoi, mais bon ça tombe bien je pars à la plage tout à l'heure, je vais en retenter un autre, pour voir.


Mais ce qui est complètement indispensable, ce ne sont pas les romans de gare cités au-dessus, mais bien une panoplie très fournie de chick-lit. La chick-lit, c'est ce genre littéraire défini comme étant "écrit par des femmes pour un public principalement féminin". Voilà, c'est dit, je ne pars pas sans un Lauren Weisberger, un Helen Fielding, un Sophie Kinsella ou un Candace Bushnell dans mon sac. Lauren Weisberger, c'est l'inoubliable Le Diable s'habille en Prada. Vous êtes nombreux à avoir vu le film, je pense, et si il vous a plu, vous ne pourrez qu'adorer encore plus le livre, qui est un véritable petit bijou : drôle, croustillant, bourré d'action, c'est génial. Comme son deuxième livre, People or not people, où on se retrouve plongé dans l'univers de la jet-set new-yorkaise. Le 3e, Sexe, diamants et plus si affinités, ainsi que le dernier, Stilleto Blues à Hollywood, sont bien aussi, mais pas géniaux. Le dernier met bien 150 pages à vraiment commencer, alors que les 2 premiers démarraient sur les chapeaux de roue ! En chick-lit, on aime aussi Helen Fielding, l'auteur des hilarants Bridget Jones, qui ont donné des films eux aussi hilarants. On retrouve encore plus dans le livre la forme "journal", et chaque début de chapitre est tordant, on y voit notre trentenaire préférée indiquer son poids, le nombre de cigarettes qu'elle a fumé, ainsi que le nombre de verres qu'elle a bu. Candace Bushnell est quant à elle célèbre pour sa série Sex and the City, que je n'ai pas lue, mais au vu de la série télé et des films, il n'y a aucune raison pour que ce ne soit pas bien, non ? Et la bonne surprise, c'est un livre de Sophie Kinsella. Je connaissais son personnage de l'accro du shopping grâce au film, et j'avais entendu parler de la série qu'elle lui consacrait, mais c'est sur un petit livre que je suis tombée : Les Petits secrets d'Emma. Je revenais de mon bac d'anglais, le lendemain j'avais mon bac d'allemand, mais tant pis, un livre aussi bien n'attend pas ! Chaise longue et lunettes de soleil dans mon jardin, c'était vraiment le must. C'est l'histoire d'Emma qui croit qu'elle va mourir (elle est dans un avion), et qui raconte tous ses secrets à son voisin, qu'elle ne connaît pas, mais qui va s'avérer être proche d'elle...


Bonnes vacances ! Et comme lire ne tue pas, ne vous en privez pas !



Images : Google